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Interviews

#25 Interview de Sébastien Gonfroy - Evolution des relations presse

Aujourd'hui je vous propose l'interview de Sébastien Gonfroy, consultant spécialiste des relations presse.

Sébastien vit à Paris. Nous avons étudié à la même école (l'ISCOM), sommes devenus amis et travaillons parfois ensemble. Sébastien est un garçon généreux (vous ne pourrez que le remarquer avec à cette longue entrevue ;)). Son approche professionnelle des médias est juste, sa stratégie affinée et il possède toutes les compétences relationnelles nécessaires à un bon attaché de presse. Dans cette interview, il nous livre sa vision globale de ce que sont devenues les relations presse depuis la montée en puissance du web et des réseaux sociaux.

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Toi :

Céline : Comment t'appelles-tu ?

Sébastien, c’est un prénom long, mais je l’aime bien.

Céline : Sous quel pseudonyme peut-on te retrouver sur internet ?

Souvent sous mon nom, @Sebgonfroy sur twitter. J’ai passé l’âge d’avoir un pseudo comme quand on faisait du jeu en réseau avec les copains. Et puis j’assume ce que j’avance. Quand on devient travailleur indépendant, notre nom devient notre marque. Une marque qu’on n’a pas besoin de déposer et qu’on ne peut pas nous contester.

Céline : Quel âge as-tu ?

25 ans … depuis bientôt 7 ans ! :)

Ta personnalité :

Céline : Quels sont les adjectifs qui te correspondent le plus ?

Humaniste, écologiste, féministe de droite. Catholique pratiquant mais non croyant. Ambitieux tempéré. Je ne cherche pas le paradoxe mais l’équilibre.

Céline : Peux-tu nous décrire plus en détail ta personnalité ?

J’essaye, et je dis bien j’essaye, d’être honnête en toutes choses, tant dans ma vie personnelle que professionnelle. J’essaye d’être honnête avec les autres mais aussi avec moi-même. Ce qui est presque plus difficile : ne jamais trahir ce à quoi l’on croit. Je donne facilement ma confiance mais il ne faut pas la trahir. Je suis quelqu’un de susceptible et même de rancunier. Mais je me soigne. ;)

Céline : Tu ne viens pas du monde du web, mais, nous allons le découvrir ensemble, tu as du te tourner vers ce media. Aujourd'hui, te considères-tu comme étant web-addict ?

Si je le suis, alors on l’est tous. Je pense que j’ai totalement intégré le web à ma vie de tous les jours. Mais suis-je addict ? Je fais partie de ceux qui commencent à se demander : « mais comment on faisait avant ? ». Notre génération est intéressante. Le web, c’est comme l’Euro. On n’est pas né avec mais on l’a intégré depuis sa création. Ceux d’avant ont vécu sans. Ceux d’après n’auront rien connu d’autre.

Tes compétences :

Céline : Quel est ton parcours ? Depuis quand exerces-tu ta profession d'attaché de presse ?

Je l’ai découvert à bac+2, en 2003. A partir de là, j’ai fait tous mes stages d’étudiant dans ce secteur (conso, sport, santé). Mon premier poste en 2006 était en politique. Puis je me suis orienté vers le développement durable et l’institutionnel. Je connais ce métier parce que j’y ai vraiment goûté à toutes les sauces. Et bonne nouvelle... je ne m’en lasse pas ! Grâce à cet enthousiasme et à cette expertise, je me suis lancé à mon compte fin 2012.

Céline : Quelle est, selon toi, l’importance des relations presse dans une stratégie de communication ?

Je pense qu’une stratégie c’est faire des choix. Donc par principe, aucun outil n’est important, ou indispensable. Force est de constater que les relations médias trouvent généralement une utilité dans une communication 360. Car les médias, grâce à leur richesse et leur diversité, offrent toujours un format permettant d’accueillir le message. Mais je suis quelqu’un qui n’hésite pas à dire à un client que ce n’est pas utile, ou simplement pas le moment de s’adresser aux médias ou à la presse. C’est pour cela que j’ai créé ma société A Ceci Près. Tout réside dans l’idée que malgré une concurrence forte, il y a souvent ce petit détail qui fait que l’on est différent. Dans notre village globale (comme dirait Marshall McLuhan) où l’on cultive volontiers l’égalité et la singularité voire la différence, il faut être stratégique. Il faut faire un pas de côté pour sortir du rang, jouer des nuances.

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Ton métier :

Céline  : Voilà plusieurs années qu'avec l’émergence du web 2.0 et du web social, les relations presse sont bouleversées. Qu'est-ce que cela a changé pour toi ?

Cette question peut être traitée sous différents aspects. C’est compliqué d’y répondre. Tant qu’il y aura des journalistes indépendants et investigateurs, cela ne changera rien. Il faudra continuer de convaincre. Peu importe que cela se passe sur twitter ou lors d’un déjeuner. Après, sur la façon d’exercer, cela ouvre le champ des possibles et laisse libre cours à la créativité.

Céline : Penses-tu que ces bouleversements s'accélèrent d'autant plus aujourd'hui ?

Ce qui s’accélère, c’est le temps de l’information. Les RP font comme toutes les disciplines de la com, elles suivent les évolutions. Le problème c’est que nous sommes dans un métier qui doit souvent prendre en compte d’autres temps. Ceux de la justice, de la diplomatie, de la recherche médicale ou simplement le temps de la réflexion. Pouvoir communiquer plus rapidement, plus directement et souvent de manière plus synthétique -en 140 caractères par exemple- peut plutôt faire prendre le pas de la rumeur. Je ne veux pas passer pour un rétrograde, je pense juste que le web ne doit pas attaquer la qualité des échanges.

Céline  : Selon toi les RP traditionnelles et les RP 2.0 peuvent-elles ou doivent-elles être dissociées ?

Je pense qu’il ne faut pas les présenter comme deux disciplines différentes. D’ailleurs je ne suis pas sûr de savoir réellement ce que sont les RP 2.0. Le 2.0 c’est utiliser les outils du web ? Est-ce s’adresser aux journalistes du web ? Aux blogueurs ? Si mon boucher m’envoie une newsletter, est-ce qu’il fait de la boucherie 2.0 ? Finalement je préfère répondre par une question. Que met-on derrière tout ça ? Sachons continuer à faire notre métier en prenant le virage du moment.

Céline  : Plus il y a de sources et plus il y a de potentiels émetteurs d'information, as-tu dû mettre les bouchées doubles au sein de ton travail ?

Il y a de plus en plus de médias, de versions en lignes des médias traditionnels et de blogs. Les médias d’informations se spécialisent de plus en plus. Les espaces d’expressions se multiplient, leurs audiences se réduisent, en fait se répartissent mais sont souvent plus captives. Tout le monde peut donc aujourd’hui jouer sa partition. Pour nous cela veut dire être plus attentif et plus curieux. Faire du contact utile et travailler sur un plan média plus malin. Les bouchées doubles, non, mais multiplier les contacts, oui.

Céline : Les sources des journalistes changent. On sait qu'ils utilisent Twitter, Facebook... pour s' « alimenter »? As-tu dû te mettre sur ces réseaux pour faire valoir les produits/services/actualités de tes clients ?

Les journalistes sont devenus blogueurs pour certains car ils veulent parfois s’exprimer en leur nom. Ils sont multi supports et parfois multi sujets. De plus en plus pigistes. Il faut être courageux pour vouloir devenir journaliste aujourd’hui. J’espère qu’ils s’alimentent ailleurs que sur les réseaux sociaux et que sur Wikipédia, qu’ils continuent de travailler leurs sources. Après, les rédactions se réduisent et se fonctionnarisent. Les journalistes sortent de moins en moins. Les conférences de presse se vident et se raréfient. Les journalistes ne rencontrent plus leurs sujets dans la rue mais sur le web. Donc il faut bien les croiser quelque part. Le web, c’est la nouvelle agora.

Céline : On connaissait les fameux dossiers et communiqués de presse, mais les attachés de presse doivent-ils décliner d'autres supports plus adaptés au web pour atteindre les blogueurs/journalistes web ?

Je n’observe pas de nouveaux outils. Ils prennent des formes différentes. Un dossier ou un communiqué de presse n’a finalement pas de forme traditionnelle. J’en ai vu de toutes sortes. Que leur forme se digitalisent, peu importe, les journalistes auront toujours besoin de sources d’information. Les outils de web-conférences fonctionnent bien et acceptent tous les formats. En ligne, nous sommes face à des multimédias ; il faut pouvoir les nourrir. Un dossier de presse sur clé USB peut-être composé de visuels, de films, de sons et d’infographies, mais il reste un dossier de presse !

Céline : Les blogueurs renommés sont devenus des influenceurs au même titre que les journalistes. Pour les toucher, as-tu une approche différente qu'avec les détenteurs de la carte de presse ?

Je me rappelle qu’en 2007, lors de la campagne présidentielle, nous nous posions encore la question de l’accès des blogueurs aux salles de presse. Face à la contestation des journalistes, des espaces réservés leurs étaient ouverts. Les journalistes, parfois blogueurs eux-mêmes, ne souhaitent pas particulièrement partager les mêmes espaces que les blogueurs et inversement. Aujourd’hui les métiers du web sont extrêmement structurés. Je pense que ce n’est pas aux attachés de presse de s’occuper de ce public. Ils ont des attentes spécifiques. Cependant il faut pouvoir se tourner vers eux si besoin.

Céline : Chaque jour la toile accueille de nouveaux blogueurs, influenceurs, médias, etc. Comment fais-tu pour tenir à jour tes fichiers presse ?

En ce qui concerne les blogueurs, comme je le disais, je ne suis pas particulièrement en veille. Par contre les médias aiment de plus en plus parler d’eux-mêmes. Il faut être curieux et attentif.

Céline : Avant, il y avait le fameux « book de retombées », mais aujourd'hui... ? La toile est VASTE... comment arrives-tu à mesurer les retombées presse que tu obtiens online ?

Les clients sont toujours demandeurs des retombées, de les qualifier, de les quantifier. Même si c’est sur le web, ils aiment pouvoir les imprimer. Les communicants évoluent parfois plus vite que leurs clients. Les veilles traditionnelles existent toujours. Mais cela coûte de l’argent et parfois on paye pour un contenu gratuit. Lorsqu’on a une dépêche AFP aujourd’hui, elle est souvent reprise à l'identique par de nombreux médias en ligne. Faut-il les considérer comme autant de retombées ? Pour ma part, je pige la dépêche et explique à mon client qu’elle a été reprise tant de fois et cite les médias si je le peux. Parfois, donner un nombre de retombées à son client revient à additionner des choux et des carottes. La pédagogie a du bon.

Céline : Avec tout ce que l'on vient de voir, aujourd'hui finalement, à quoi ressemble ta journée type ?

Du contact, du contact et toujours du contact. Encore une fois, mon métier est de convaincre et d'expliquer. Le web doit rapprocher, mettre en contact. Il doit garder sa vocation, être un outil de communication. Le reste c’est de l’humain. Le client aura toujours besoin de conseil, l’attaché de presse de pouvoir de persuasion et le journaliste de conviction.

Céline : Quelles sont, selon toi, les qualités requises pour être un bon attaché de presse en 2014 ?

C’est la curiosité. Il faut pouvoir s’ouvrir à des sujets que l’on ne maîtrise pas à la base pour les vulgariser et les restituer de manière à être compris par le plus grand nombre. Et il faut aussi savoir ouvrir des magazines que l’on ne lirait pas, regarder des programmes TV que l’on ne regarderait pas ou s’aventurer sur le web là où l’on n’a pas l’habitude d’aller pour soi. Car il y a là d’autres publics que l’on aura très certainement à toucher un jour.

Ta vision de l'avenir :

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Céline : Comment envisages-tu l’avenir des relations presse ?

Je ne l’envisage pas vraiment. Je vais déjà essayer de continuer à le comprendre. Ce que j’espère c’est que les médias et les journalistes resteront libres. Et entendez le bien, la mainmise des marques m’inquiète bien plus que celle des pouvoirs politiques. Il ne faut pas que les entreprises, qui aiment à faire du brand content, viennent à se substituer aux médias d’information. Même si je considère que les entreprises aujourd’hui doivent prendre la parole. Elles sont des interlocuteurs crédibles voire même souvent tout à fait légitimes. Pourquoi Coca-Cola ne parlerait pas hydratation après tout ? Par contre les médias doivent rester indépendants. D’ailleurs le combat idéologique entamé par les journalistes de Libération actuellement est absolument passionnant. Il est même possible que cela remette un peu les choses en place.

Céline : Quelles sont tes attentes par rapport au web de demain ?

Le web de demain ne doit pas oublier qu’il évolue dans un monde bien plus vieux que lui. Que les liens entre les hommes, que leurs rapports à la liberté, à la communication, à l’information n’ont pas attendu le web pour évoluer, exploser puis se réinventer à chaque fois. C’est au web de s’adapter à l’homme et pas l’inverse.

Conclusion :

Céline : Une idée d'une prochaine personne à interviewer ?

Sylvain Lapoix. On s’est rencontré en 2007, lors d’une campagne présidentielle qui voyait arriver les chaînes d’info en continu, les médias nés en ligne et l’accélération de l’information. Il fait partie d’une génération de journalistes pionniers qui ont intégré toutes les capacités du web à leur métier et qui ont été les premiers à faire du data journalisme. Et c’est un excellent journaliste.

Sinon il y a Antoine Régis, le talentueux créateur de Chictypes.com. Avec son concept, il a repensé la façon de relooker les hommes. Ce n’est pas du e-commerce, c’est utiliser les possibilités du web pour recréer du contact avec les clients. Ils ont tout compris.

Céline : As-tu quelques chose à ajouter ?

Oui. J’aime mon métier et donc j’aime le transmettre. Je suis en mesure de proposer des formations qui entrent dans le cadre de la formation professionnelle, DIF et autres... Donc si des personnes souhaitent se former, qu’elles me contactent. Google : Sébastien Gonfroy, je ne suis pas difficile à retrouver !.com.

Céline : Sébastien, un grand Merci pour avoir répondu à mes questions et à très bientôt sur Narcissique Blog.

Céline

Interview de Sébastien Gonfroy par Céline pour Narcissique Blog le 20/03/2014

La vie du blogL'équipePierre

(Re)prendre son indépendance un nouvel élan

C'est fait, c'est bon, je suis libre. La décision à longuement muri et maintenant il est temps de tourner la page de passer à la suite.

J'ai donné ma démission hier. Un lundi matin comme les autres. L'envie et le besoin de voir autre chose. De reprendre ma casquette de freelance, de récupérer cette indépendance qui me permet d'avancer sereinement en remettant en cause le statu-quo. Je me suis rendu compte que ces derniers mois être salarié était une facilité. J'ai besoin de me mettre ce coup de pied au cul qui me pousse vers l'avant.

Les quelques raisons de ce changement sont simples à résumer :

  • envie de voir autre chose et d'être mon propre patron (avec ses avantages et ses inconvénients ^^)
  • quelques projets de startup dans les cartons à sortir dans les prochains mois
  • l'envie de repartir vivre à l'étranger
  • l'envie, à terme, de ne plus bosser en mode prestation mais plutôt sur un (ou des) service(s) web à base d'abonnements
  • l'envie, à terme, de monter une équipe de "techos" que j'ai choisi, que je suis sûr de pouvoir emmener au bout du monde

La suite est assez simple. Tout d'abord je termine le 31 mars au soir, dans moins de 15 jours. Je remercie mon boss pour sa souplesse. :)

A partir d'avril je redeviens libre de toute contrainte mais aussi libre de trouver moi-même de quoi me verser un salaire à la fin du mois. J'ai quelques avantages :

  • un bon réseau professionnel entre Lausanne et Grenoble que je suis en train de réactiver
  • des compétences reconnues sur le marché du travail
  • une association avec Relax In The Air, une entreprise tenue de main de maitre par MC et Sabine avec qui j'ai l'occasion de travailler depuis 7 mois.

Digital Globe

Suite à de nombreuses demandes je remets ici le détail de mon champ d'intervention. :)

Je suis donc maintenant à mon compte. Je vais développer mon propre business principalement axé sur les 4 grandes prestations suivantes :

  • Vulgarisation
  • Chefferie de projet
  • SEO Specialist
  • Match making

Vulgarisation

Je donne de nombreux cours à Annecy, Genève et Lausanne ; j'aime beaucoup la vulgarisation technique cela me demande du travail pour expliquer simplement des concepts techniques pointus. C'est un challenge passionnant. J'aime expliquer et transmettre un savoir ainsi que le contact avec les étudiants. Cela est enrichissant, ça me permet de découvrir leur façon de travailler et d'aborder le monde.

Les cours que je donne régulièrement :

  • Initiation au technologie web : cours de 2 jours permettant de comprendre le fonctionnement technique d'Internet. J'aborde les notions suivantes : DNS, HTTP, Email, Client / Serveur, Web 1.0 vs Web 2.0, WWW (d'Arpanet au réseau internet mondial), commutation de paquet, adressage IP. Mais aussi découverte de ce qu'est un moteur de recherche, un navigateur web, de l'histoire d'internet et des grands services qui existent sur la toile
  • Initiation au référencement naturel (SEO) : découverte de ce qu'est le SEO, de sa différence avec le SEA, voyage au coeur du fonctionnement technique des moteurs de recherche, compréhension des facteurs permettant de positionner un site internet, découverte des métiers autour du SEO (web-marketing, rédaction, netlinking, achat de trafic, etc.)
  • Initiation à la programmation HTML et CSS : découverte des balises HTML et CSS, création d'une première page web

J'ai eu l'occasion de donner des conférences sur différents sujets comme l'e-reputation, la réputation de marque, le SEO. Je donne des conférences à la demande avec des sujets sur mesure en fonction de l'audience et des attentes des organisateurs.

Chefferie de projet

La chefferie de projet digitale est un travail de chef d'orchestre, j'accompagne mes clients dans le montage de leur appel d'offre et dans l'exécution technique de leur stratégie web.

J'ai été sollicité ces derniers mois pour effectuer les missions suivantes :

  • trouver une agence technique pour exécuter une stratégie digitale : j'ai donc audité des agences, écrit un appel d'offre, soumis l'appel d'offre, répondu aux questions des agences, rencontré les agences, sélectionné l'agence technique avec le client
  • intervenir en tant qu'interface entre un client et son agence technique car le client n'était pas satisfait de la prestation : j'ai fait connaissance avec chacune des parties afin de comprendre les enjeux dans le but de recadrer chacun pour que le travail puisse reprendre dans les meilleurs conditions possible
  • donner mon avis technique sur le choix d'un CMS et d'une agence technique en fonction d'un cahier des charges et des contraintes clients
  • effectuer le suivi de projets internationaux (site web déployé dans 25 pays d'Europe) avec la gestion intégrale des prestataires stratégique, design et technique au nom du client
  • challenger une stratégie digitale en cours d'écriture : j'ai donc écouté le client et appris à le connaitre, et j'ai assisté l'agence stratégique en m'assurant à chaque étape que la stratégie pourrait être exécutée avec l'équipe technique en place

SEO Specialist

En tant que spécialiste SEO j'accompagne mes clients dans l'élaboration et/ou l'exécution de leur stratégie de référencement naturel à travers l'Europe. Que vous ayez besoin d'un accompagnement de quelques heures pour débloquer une situation difficile ou d'un accompagnement à l'année je trouve le mode de prestation qui vous conviendra le mieux.

J'ai eu l'occasion de travailler dernièrement sur les sujets suivants :

  • lancement d'une PME sur internet
  • gestion d'e-reputation pour diverses clients en Europe
  • accompagnement pour un référencement multi-pays, multi-langue pour une PME
  • écriture et mise en place d'une stratégie de référencement naturel pour des grandes marques en Europe (25 pays entre Lisbonne et Moscou)
  • accompagnement stratégique en mode hotline pour nos clients grand compte
  • formation de développeurs front-end pour améliorer la qualité du code produit
  • revue de code front-end en vue d'assurer au client que le site serait optimisé pour le SEO
  • formation à Google Analytics débutant et avancé
  • mise en place de tableau de bords analytiques sur mesure pour 25 marques en Europe
  • accompagnement stratégique (pas que du SEO) sur un site qui a un trafic stagnant depuis plusieurs année afin de le faire remonter dans les SERPs*

Match Making

Bien que mon métier repose sur un socle technique, au centre on retrouve l'humain. Que ce soit les clients, les équipes techniques, les consultants, les IT : tous ont comme point commun d'être des humains. Oui j'ai un métier où la technique occupe une place importante car tous les projets web reposent sur des connaissances techniques, mais ce sont les humains qui collaborent sur le projet et qui mettent en oeuvre ces connaissances. C'est pour cela que je mets en relation des gens qui cherchent avec d'autres qui cherchent aussi. :D

En organisant des événements comme le Rencard du Web, je suis amené à rencontrer du monde. J’essaie dans la mesure du possible de leur rendre service.

Quelques exemples :

  • Je mets en relation les clients qui cherchent un prestataire avec celui qui répond à leurs besoins et contraintes
  • Je place les gens de mon réseau dans des entreprises où ils pourront s'épanouir
  • J'apporte des solutions techniques à ceux qui m'en font la demande sur le mode : vient avec un problème lié au web et je te trouverai la solution adaptée à tes besoins
  • J'aide les entreprises du coin à trouver la perle rare qu'il leur manque pour compléter leur équipe technique

Je tiens à remercier tout ceux qui me soutiennent dans cette nouvelle aventure ! Merci d'être là, sans vous rien ne serait possible. :D

Envie d'en savoir plus sur moi ?

Si vous souhaitez faire appel à mes services ou simplement échanger pour mieux me connaitre je suis à votre disposition à l'adresse pierre at ammeloot.fr ; par Skype pierre_ammeloot ou sur Twitter @Pierre_A.

A bientôt,
Pierre

  • SERP : acronyme anglophone de “Search Engine Result Page", littéralement page de résultat des moteurs de recherche. Désigne la page de résultats du moteur de recherche une fois que vous avez entré l'expression clef recherchée.