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Reflexions

Peut-on connaître notre avenir professionnel ?

Ce matin, une personne proche m'a proposé de me "tirer les cartes", tout cela afin de me donner des réponses à mes interrogations. Étant quelqu'un de très ouvert, j'ai bien sûr accepté. On a donc fait ensemble 4 exercices pour 4 questions différentes, mais toujours orienté sur le même sujet : ma vie professionnelle.

En effet, commençant tout juste mon activité en tant que consultant SEO, il était très important pour moi d'avoir un autre avis que celui de mes confrères, amis, etc... Alors je me suis dit, pourquoi pas essayer pour une fois !

Et bien figurez-vous que je n'aurais peut-être pas dû jouer à ce petit jeu, car les réponses étaient complètement contraires à ceux que je voulais entendre. Du coup, j'ai pas arrêté de m'interroger sur : peut-on vraiment connaître notre avenir professionnel ?

Pourquoi connaître son avenir professionnel ?

Je sais qu'il est bien de vivre au jour le jour, mais c'est quand même bien de savoir dans quelle direction on va. À quoi bon faire son métier en se concentrant seulement sur "sa journée", pour ensuite se rendre compte que si on avait fait ça, cela aurait changé l'avenir. Finalement, il y a des tas de raison de connaître son avenir professionnel.

Par exemple, on peut vouloir connaître son avenir pour anticiper les actions à effectuer, planifier son emploi du temps et son année... On peut aussi vouloir connaître son avenir professionnel pour essayer de l'améliorer dans le cas où il ne serait pas glorieux. On trouvera tous une raison de vouloir "voir plus loin".

Maintenant, je dis tout cela, mais faut-il vraiment tout savoir ? Je pense que non. En effet, si on connait trop son avenir, on ne s'amuse plus, on a plus cette part de mystère et on connaît sa vie à l'avance, c'est pas super cool si on contrôle tout, et on risquerait qui plus est, de faire des bêtises. C'est comme si je jouais à un jeu vidéo et que je savais ce qu'il fallait faire à l'avance, on s'ennuie vite. Il faut donc trouver un équilibre dans tout cela.

Comment connaître son avenir professionnel ?

Je serait tenté de dire "pas avec quelqu'un qui vous tire les cartes", mais bon apparemment, ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas fait cela, donc je n’ai pas pris super au sérieux ses réponses (voir à la fin de l'article). Donc je dirais qu'on peut trouver par des moyens "parallèles", paranormaux, ésotériques... son avenir professionnel, mais c'est comme tout, on ne sait pas si ça fonctionne et tout le monde croit ce qu'il veut. Bon, arrêtons de parler de cela, c'est assez compliqué d'en parler ici, c'est un domaine qui fait souvent polémique ;)

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Donc, revenons à nos moutons, vous pouvez connaître votre avenir avec différentes méthodes. La plus facile est de deviner l'avenir proche. Vous pouvez regarder le comportement de vos clients, votre marché, vos statistiques, le mois de l'année, la conjoncture actuelle, l'actualité, etc. Tous les indicateurs qui peuvent vous aider à déceler si "c'est bien pour vous" peuvent vous aider, il faut juste avoir un esprit de déduction. La plupart du temps, vous pourrez vous faire une idée, voire même anticiper. Cela peut par ailleurs vous permettre de faire une action décisive !

Ensuite, pour tout ce qui est avenir lointain, c'est un peu plus compliqué. En effet, on ne peut pas savoir ce qui va nous arriver dans un an, deux ans ou plus. Vous pouvez très bien devenir papa, rencontrer une personne qui vous fera tourner la tête ou autre. Honnêtement, je trouve que cela ne sert pas à grand-chose de trop s'en préoccuper, car de toute manière, c'est loin. Vous aurez généralement une marge de manœuvre et le temps de tout modifier, que ce soit de manière volontaire ou involontaire. A noter qu'en fonction des cas, il est important de connaître une bonne longueur, faites preuve de bon sens.

On a donc différents moyens pour connaître son avenir professionnel, il faut juste observer, anticiper, deviner, déduire de son environnement, quelque chose.

Conclusion

Connaître son avenir professionnel est important quand cela est proche, mais moins quand cela se trouve à quelques années de nous. On peut utiliser des techniques un peu à part, mais le meilleur reste d'observer et de réfléchir un minimum tout en ayant du bon sens.

On peut effectivement déduire, par le comportement d'un client, s'il va nous rappeler ou pas. Pareil si on voit que nos statistiques sont en train de plonger, on sait que ça va mal et qu'il faut faire une action qui puisse booster ces mêmes statistiques.

Enfin voilà, c'est terminé, un petit article rapide qui peut en faire réfléchir certain et en faire rigoler d'autre ! N'hésitez pas à donner vos astuces et vos impressions en commentaire :)

Petit bonus : Les questions que j'avais posées à mon ami étaient les suivantes. J'ai mis les réponses à côté. Je rappelle que je suis consultant SEO et que je débute mon activité, ce n'est donc pas l'euphorie tous les jours pour moi.

  • Vais-je bientôt obtenir de nouveaux clients pour du référencement ? : Non
  • Faut-il que je change ma stratégie de prospection en référencement ? : Non
  • Le métier de consultant SEO est-il le métier qui me correspond le plus ? : Non
  • Dois-je changer de métier ? : Non

Voilà ! Vous remarquerez que les réponses sont assez franches et pas forcément pertinentes. A moins que je sois vraiment fait que pour le bénévolat :D

Allez, trêve de plaisanterie. À bientôt sur Narcissique !

Nouvelles technologiesDécouvert sur le web

Apprenez à coder rapidement et simplement !

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Souvent, quand on veut apprendre à coder, on commence avec les tutoriels sur internet. Ce sont des gros guides avec plus ou moins d'informations qui nous permettent d'avoir les bases dans un domaine.

Honnêtement, je trouve que c'est une très bonne chose de partager ses connaissances de cette manière, mais je dois vous avouer que lorsqu'on est élève, on a quand même du mal pour certains langages. En effet, la méthode d'apprentissage reste souvent trop scolaire et on a vite fait de tout abandonner à la vue des informations en masse qu'on nous fait parvenir brutalement.

Lorsqu'on débute

Comme tout débutant en développement, j'ai commencé sur le Site du Zero, aujourd'hui Open Class Room. J'ai débuté avec le duo HTML/CSS pour continuer sur le PHP, le C++ et le Java. Franchement, le HTML et le CSS se sont super bien passés, mais les autres... aie aie aie.

C'était bizarre, car j’apprenais, j'arrivais à faire les exercices, les QCM... mais pourtant, j'étais dans l'incapacité de faire quoi que ce soit par moi même. Impossible de créer un projet. J'avais des idées, mais impossible de les développer. À croire que je n'étais pas fait pour cela.

Ensuite, lorsque je suis rentré au CNAM, j'ai quand même eu l'occasion de persévérer puisque j'ai dû apprendre le PHP, le JavaScript, etc.. mais il faut dire qu'il y avait un suivi régulier. Ceci dit, je ne me sentais toujours pas à l'aise, c'était encore assez flou pour moi. Autant vous dire que je ne me considérait et ne me considère toujours absolument pas comme un gourou du développement, c'est d'ailleurs en partie pour cela que je fais du SEO aujourd'hui, car je prends beaucoup plus de plaisir de manière générale, que ce soit pendant mon apprentissage permanent ou autre.

Une méthode plus ludique et passionnante

Maintenant, je vous dis tout cela, mais j'ai quand même découvert récemment une nouvelle méthode d'apprentissage plus ludique, elle m'a permis d'avoir rapidement les bases en Python: l'E-learning. En effet, je souhaitais faire quelques outils fait maison et je suis tombé sur un tutoriel en ligne, sur une espèce de plateforme de développement, où tout se passe super vite. La preuve, je me suis amusé et je n'ai même pas senti passer le début de la formation, et je suis déjà à plus de 25 % (1/4 qui englobe les bases élémentaires).

Pour ma part, la solution que j'ai testé s'appelle Code Academy, je ne sais pas trop ce que cela vaut par rapport à d'autres, mais de ce que j'ai pu en voir, pour le Python, c'est vraiment super ! C'est un cours ludique où vous développez en live progressivement. Il y a tout un système de correction et vous ne vous préoccupez pas du tout du côté "par cœur", ça rentre par la pratique. Aussi, j'ai vu qu'il existait d'autres sites sur le net et pas seulement consacré au Python, vous pouvez aussi apprendre le HTML, le CSS, le PHP, le Ruby, le JavaScript, l'Ajax, etc. Il y a vraiment plein de ressource, très bien donc !

Enfin voilà, un petit article qui se termine sur une note d'espoir pour les personnes qui ne sont pas à l'aise en développement pur. Je reviendrais sans doute dans quelques temps pour vous faire mes retours sur l'ensemble de la formation.

N'hésitez pas à commenter en nous faisant part de vos impressions sur cet outil ou faites nous découvrir les votre !

A bientôt sur Narcissique !

La vie du blog

Un Thomas de plus chez Narcissique !

Bonjour à tous !

Comme c'est seulement la seconde fois que j'écris ici et que je n'ai pas eu l'occasion de me présenter, je vous propose aujourd'hui un petit article pour découvrir qui je suis, ce que je fais dans la vie, etc. Bonne lecture !

Qui suis-je ?

avatar-test.jpg Je m'appelle Thomas Cubel, j'ai 22 ans, je vis dans une petite ville du nom de Vert-Saint-Denis en Seine-et-Marne (77). Je suis arrivé sur ce blog après le Podcast très enrichissant entre Pierre Ammeloot et Laurent Bourrelly.

Suite à cela, j'ai eu l'occasion de prendre contact et de discuter avec Pierre de SEO. Puis, au fur et à mesure du temps, nous avons plutôt bien sympathisé et il m'a proposé d'écrire sur le blog Narcissique et j'ai accepté. Je suis donc ravi aujourd'hui de pouvoir écrire ici. Merci encore à toi Pierre pour m'avoir donné la possibilité de m'exprimer librement ici ;)

Mes activités

En ce qui concerne mes activités, dans la vie professionnelle, je suis consultant SEO à mon propre compte, mon rôle est de conseiller les entreprises afin d'accroître leur visibilité au sein d'internet avec une stratégie efficace et durable. Par ailleurs, je suis aussi blogueur dans le même domaine puisque j'ai lancé depuis mars 2014 un blog consacré au SEO. Cela me permet de faire découvrir ce que je fais (voir lien sur le côté).

Côté vie privée maintenant, je joue de la batterie et de la guitare depuis l'âge de 12 et 17 ans. Je suis aussi bénévole dans une association locale qui a pour objectif de promouvoir la culture via différentes activités et spectacles. Notre cœur de cible est à la fois les enfants comme les adultes, nous organisons des actions et évènements culturels pour faire "bouger" nos deux villes. Fût un temps, j'étais aussi passionné par la pyrotechnie et la lutherie (le travail du bois par la même occasion), mais j'ai laissé de côté ces passions, qui pour le moment, me prendrait beaucoup trop de temps (dur de commencer son entreprise :)).

Enfin voilà ! Je crois que je vous ai dit le principal en ce qui concerne mes activités professionnelles et personnelles. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à me parler en privé via mon blog ou dans les commentaires, je me ferais une joie de vous répondre, je suis quelqu'un d'assez accessible et ouvert. Je vous dis à très bientôt sur le blog, et en attendant, lisez les derniers articles si ce n'est pas déjà fait !

Nouvelles technologiesAstuces - Conseils

Pensez à supprimer les emails inactifs de vos mailing listes

Nous avons relancé il y a un mois avec Julien un site de tutoriel pour apprendre à faire des Scoubidous : L'Art des Scoubidous. Ce site existe depuis 2003, il est devenu au fil du temps une référence dans le domaine de l'apprentissage des Scoudibous. Vous pouvez apprendre à créer un scoubidou avec 2 à 8 fils, ou encore à créer des formes comme des lettres de l'alphabet, un chien, ou encore une araignée en Scoubidous. C'est l'un des premiers projet web de Julien, datant d'une époque ou il était encore étudiant. :-)

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Les dernières mises à jours sur ce site remontant à 2010 j'ai proposé à Julien il y a un an de reprendre le concept avec lui pour en faire un site de référence sur le sujet. Avec pour objectif d'augmenter le trafic et de le monétiser. Comme cela nous avons tout les deux un site en propre pour nos expérimentations technique et web-marketing.

Il y a un an, j'ai demandé à Julien qu'il installe un formulaire de collecte d'email sur la page d'accueil du site. Cela nous a permis de collecter 500 adresses emails, nous avons aussi récupéré les emails des personnes inscrites sur le forum de l'ancien site. Ce qui nous faisait un total de 2851 adresses emails que nous avons intégré dans une liste de contact sur MailJet.

La nouvelle version du site a été mise en ligne début avril. Nous avons d'abord procédé à un "soft launch", c'est à dire un lancement sans annonce, en douceur. Afin de régler les derniers points techniques et de s'assurer que le site ne comportait plus aucun bug. De plus cela m'a permis de m'assurer que le référencement du site ne serait pas impacté. En effet, nous avons effectué un changement de plateforme technique, une réécriture de l'ensemble des contenus et la mise en place d'un nouveau forum. C'est toujours un challenge de garder ses positions dans les moteurs de recherche dans ce cas.

Jeudi 8 mai nous avons lancé notre première newsletter mensuelle afin d'annoncer aux anciens membres le lancement de cette nouvelle version. Résultats sur 2851 emails dans la base de contacts plus de 800 emails étaient en erreurs, inconnu, ou inexistant. Ce qui a permis un bon nettoyage de printemps.

J'ai donc supprimé environ 800 adresses emails de notre base de contact pour arriver à un peu plus de 2000 adresses actuellement. Cela pour la simple raisons que plus mes adresses sont qualifiées meilleures sont mes chances d'avoir une déliverabilitée maximum auprès des grands provider de boîte emails (hotmail, gmail, etc.).

Je vous conseille de faire la même chose après chaque envoie d'emails marketing ou de newsletter depuis une grosse base de données (que ce soit 500, 1000 ou 10.000 contacts le principe est le même). Une adresse inactive aujourd'hui n'a aucune chance d'être active demain, vous allez générer des économies dans l'envoie et augmenter votre taux d'ouverture simplement. Cela permet aussi d'améliorer votre réputation IP et donc d'avoir plus de de chance d'atteindre vos destinataires.

Le nettoyage de mes listes d'adresses emails est une habitude que j'ai prise avec l'envoie de newsletters régulière aux participants du Rencard du Web à Annecy et Genève. Si une adresse email n'est plus active (ce qui arrive souvent lorsqu'une personne quitte une entreprise) alors je la supprime de la base de donnes afin de ne plus la solliciter à l'avenir.

Par habitude j'active mes bases de données emails au moins deux fois par an. En effet, j'estime qu'une adresse emails qui a été collectée / activée il y a plus de six mois n'a plus de valeur. Il faut se rappeler au bon souvenir des personnes ayant souscrit à notre newsletter régulièrement sinon les taux d'ouverture et de clics diminuent fortement.

J'espère que ces quelques conseils vous permettrons à mieux gérer vos bases de données d'adresses emails et vos emailings. Si vous avez d'autres conseils pour améliorer la gestion de vos emailings les commentaires sont ouverts. :-)

A bientôt,

Pierre

Reflexions

Cher développeur n'ai plus peur !

Dans mon quotidien j'ai l'habitude de côtoyer et de travailler avec de nombreux développeurs, qu'ils soient free-lance ou en agence.

Face à un challenge nouveau il y a, pour moi, deux grand types de personnes. Ceux qui voient un problème et ceux qui voient une solution.

Le premier type de personne est angoissé à l'idée que ce challenge puisse les ralentir, demande de la réflexion et de l'imagination pour trouver une solution élégante. En générale la réaction est négative et parfois violente. Ces personnes cherchent à remettre la "faute" de l'existence de ce challenge qui les dérangent sur une autre personne : le client, l'utilisateur final, le chef de projet, ou un autre développeur. Ce qu'il faut comprendre dans ce cas en tant que responsable technique du projet c'est la raison de la peur de cette personne, l'analyser et trouver comment l'apaiser avant de pouvoir se mettre au travail pour trouver une solution élégante ensemble.

Est-ce utile de préciser que cela génère du stress sur l'ensemble de l'équipe et que cela demande beaucoup d'énergie à l'équipe et au management ? Idéalement il faut amener ces personnes angoissées à l'idée d'un challenge à réfléchir sur leur attitude et leur proposer de faire confiance à leur équipe et à leur management. Cela demande aussi, en tant que chef de projet, une écoute et un lien permanent avec ses équipes techniques pour entendre les peurs le plus tôt possible. Parfois un point mal expliqué peut entraîner un sentiment de complexité la ou il n'y en a pas. L'objectif est de les faire grandir et de bien connaître son équipe pour préparer le terrain lors d'une annonce comprenant de l'incertitude.

Travailler en mode solution

Le second type de personne est stimulé par le challenge. Et voit dans ces demandes nouvelles une opportunités de sortir de la routine du quotidien et d'imaginer de nouvelles solutions élégantes. Pour eux c'est comme une bouffée d'oxygène. Ce type de développeur peut même amener à quitter votre équipe si les challenges ne sont pas assez nombreux et régulier. Ils ont besoins de découvrir de nouvelles choses et ont peut de s'enfermer dans une routine.

Soyons bien d'accord il n'y a pas de développeur parfait en toute circonstances. Mais des personnes adaptées aux types de projets, de clients et l'entreprise dans laquelle ils évoluent.

Pour ma part j'ai clairement une préférence pour le second type de développeurs car je suis de ceux qui aime la nouveautés et les challenges nouveaux. Mais cela ne m'a pas empêché d'avoir eu à gérer des équipes mixant les deux types de profils et de composer avec au quotidien.

Happiness

Être un bon manager

Je crois sincèrement que pour être un bon manager il faut prendre soin de ses équipes au quotidien. Le secret pour que cela fonctionne : apprendre à connaître son équipe et les individualités qui la compose. Prendre le temps d'écouter et d'essayer de voir au delà de la réaction primaire de la personne permet aussi bien souvent de cerner les attentes, les joies et les angoisses de chacun. Ceci afin d'aider chacun à grandir dans son travail.

Et vous quel est votre profil ?

À bientôt,

Pierre Ammeloot

Nouvelles technologiesMatériels

Mes impressions sur le bureau debout

J'ai invité Thomas Cubel à écrire un article sur son expérience du travail debout. Bonne lecture.

Depuis l’article de Pierre sur le bureau debout, je dois avouer que j’ai fait pas mal de recherche sur cette position de travail. Finalement, cela m’a mené à adapter mon bureau classique en bureau debout.

Total, j’ai testé temporairement un bureau de près d’un mètre cinquante et je dois admettre que le temporaire est devenu aujourd’hui le définitif. En effet, cela fait deux mois que je travaille debout et je ressens vraiment de bonnes choses. Coup de projecteur sur mes premières semaines d’utilisation !

Les premiers jours

Mes premières impressions pourraient en repousser certains, mais la suite rattrape le tout puisque j’ai eu d’énormes résultats positifs ! Tout d’abord, les premiers jours, on a les jambes lourdes, on a du mal à tenir debout, on a les talons qui chauffent et qui font mal. On a envie de tout virer et de revenir en position assise, on aime s’asseoir, et on découvre qu’on est dépendant de son siège depuis plusieurs années.

Ensuite, malgré les gens qui vous disent que ce sont des bêtises, il faut se convaincre et persévérer pour continuer et apprécier l’expérience.

Et bien franchement, je crois que c’était surtout parce que je n’avais pas couru depuis l’été 2013 que ça me faisait mal, car clairement, j’ai commencé à voir des bénéfices et un allégement de la douleur due aux premiers jours intenses. Verdict, après une semaine, les douleurs aux jambes ont fini par s’estomper et j’ai pu commencer un premier diagnostic sur tout cela. Autant dire que vous n’allez pas être déçu !

Les bénéfices du bureau debout

Tout d’abord, étant assez grand, j’ai vu un gros bénéfice sur les problèmes de dos. Avant, j’avais des pincements en bas du dos qui me faisait extrêmement mal, et aujourd’hui, je n’ai plus rien. C’est vraiment super de pouvoir se dire que les études qui ont été faites sont finalement vraies !

Ensuite, niveau productivité, fatigue, travail, c’est vraiment trop. Le fait que l’on soit debout, je pense que notre cerveau reste constamment en activité. Du coup, on est tout le temps éveillé et cela nous permet de nous focaliser sur notre travail et rien de plus. On n’arrive pas à s’endormir.

De plus, même si l’on commence à ressentir une certaine fatigue en fin de journée, ce n’est pas au niveau des jambes, mais au niveau des yeux qu’on l’a ressent. Travailler debout vous permet donc de savoir quand faire une pause, c’est un excellent indicateur de fatigue.

Après, pour ce qui est du corps en général, j’ai noté étrangement une meilleure circulation du sang, j’ai moins de « fourmis » dans les jambes. Il y a aussi nos muscles qui se renforcent et ça, c’est vraiment cool pour ne pas perdre !

Enfin, de manière générale, je me sens mieux et je prends plaisir à travailler debout. C’est vraiment super et je pense sérieusement à faire une installation définitive, car cela est un peu moche actuellement :D

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Conclusion

Sur le long terme, je pense que notre santé est améliorée et qu’on est beaucoup plus à l’aise et productif debout. J’ai tout de même pris un siège haut pour me poser 5-10min de temps en temps et un tapis de sport pour avoir un amorti sur les talons (je travaille en chaussette), mais de manière générale, c’est debout et c’est super ! Je recommande donc !

Voilà ! C’est terminé pour ces impressions sur le bureau (j’espère) du futur. Sachez qu’il existe une multitude de moyens pour faire son propre bureau et qu’il existe des sites pour pouvoir s’informer, notamment celui-ci : http://bureau-debout.com/

A bientôt !

Thomas

La vie du blogL'équipePierre

Comment débuter sa veille sur internet simplement ?

Bonjour à tous,

J'ai eu l'occasion dernièrement de donner un cours à Aries Annecy. Je suis intervenu devant les étudiants pendant 3 heures en mode "open bar", j'avais prévu un certains nombres de sujets* et ils étaient libres de me poser les questions qu'ils souhaitent.

Lors de ce cours nous avons abordé, entre autre chose, le sujet de la veille. La question était : "Par ou commencer pour faire sa veille ?".

Je leur ai donc expliqué comment moi je fais ma veille, en utilisant Feedly et en suivant un certain nombre de sources différentes en fonction des sujets qui m'intéressent.

rssoptimize.jpg

Je publie donc ici mon flux OPML (la collection de mes flux RSS) pour ceux qui sont intéressés.

Cela permettra à ceux qui souhaitent commencer ou enrichir leur veille de le faire simplement.

Pour ceux qui n'ont pas encore de veille via des flux RSS il suffit de se créer un compte gratuitement sur Feedly.com (ou une autre plateforme de lecture de "flux RSS") et d'importer le flux OPML (à télécharger ci-dessus).

Ensuite chacun garde ce qu'il veut et ajoute de nouveaux sites à Feedly en fonction de ses préférences.

Bonne veille, Pierre

  • Si vous souhaitez me faire intervenir dans votre entreprise ou votre école contactez-moi.

Nouvelles technologiesDécouvert sur le web

Le podcast Curious Kids bientôt dans vos oreilles !

avatar_ck.pngAvec Matteo et Grégoire nous avons décidé de lancer un podcast sous le nom de Curious Kids.

Le concept de Curious Kids est simple : un podcast pour mettre en avant ce que la technologie apporte à la société aujourd'hui. Avec des invités qui seront basée principalement entre Grenoble et Lausanne dans l'Arc Alpin.

Vous pouvez nous retrouver sur Twitter @CKPodcast.

Nous travaillons sur le premier sujet. Restez à l'écoute !

A bientôt, Pierre